Au cours d’une séance BDSM, les deux partenaires endossent différents rôles et réalisent divers fantasmes sexuels. Ainsi on a, ceux qui dirigent et ceux qui sont dominés. Ce jeu a des règles et des limites, comme tout autre jeu. En outre, la soumission peut aller plus loin en devenant plus ancrée dans votre vie quotidienne. Cependant, quelles sont les limites des séances BDSM ?
À quoi fait référence le terme « limites » dans le BDSM ?
Il est important de se rappeler qu’une femme (ou un homme) soumise sexuellement n’est pas juste une autre chose à utiliser au lit. En effet, lors d’une rencontre soumise, au lieu de jouer avec un panda jouet, vous pouvez explorer vos désirs et vos fantasmes. Il est essentiel que le couple se mette d’accord sur certaines règles de base avant de commencer, afin que tout le monde s’amuse. Dans ce contexte, le terme « liste » désigne un ensemble d’éléments que l’objet sexuel est prêt à faire ou non. Un bon exemple serait d’accepter de se faire attacher et de se faire sortir, mais de s’opposer à l’utilisation d’une épingle à sein. Il est important de noter que les limites des sessions varient de temps en temps. Cela est simplement dû au fait que chacun a des besoins et des désirs différents. En d’autres termes, la seule règle qui n’a pas été enfreinte est le consentement. Le BDSM ne se pratique qu’avec des adultes consentants.
Une femme soumise peut-elle vraiment dire « non » ?
Il est tout à fait acceptable qu’un homme ou une femme soumis dise « non ». Toutes les parties concernées doivent être d’accord, comme indiqué ci-dessus. Dire le « safeword » mettra immédiatement fin à la session si les limites sont testées ou si l’introduction d’une nouvelle technique est mal accueillie. Être soumis dans la culture BDSM n’implique pas une acceptation aveugle, cependant. Personne ne peut vous priver de votre droit à la liberté de pensée et d’expression. Le but est de s’amuser, pas de se torturer.